La transformation de Tristan en une œuvre d’art vivante a été un voyage de découverte de soi, mais aussi d’isolement. Alors que sa peau se couvrait d’encre, les réactions du monde extérieur variaient de l’admiration à la répulsion, mettant à l’épreuve sa force intérieure et son estime de soi. Les regards curieux et parfois hostiles des passants étaient un rappel constant de sa différence. Pourtant, Tristan trouvait du réconfort dans la communauté des amateurs d’art corporel, où il n’était pas un outsider, mais un frère. Cette solidarité lui a donné la force de poursuivre son chemin, mais une rencontre fortuite avec une âme perdue cherchant son propre sens de l’identité le pousse à réévaluer sa mission. Comment cette rencontre inattendue influencera-t-elle son parcours?
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